samedi, 5 mai 2007

L'USINE


Non mais alors y a plus de saisons et tout fout le camp! Je vous le dis moi. C'est vrai quoi, il y a quelques jours à peine, je parlais de parasol et de rienfoutisme et voilà que la pluie et la grêle nous tombent en trombes sur le coin de la figure, et que en plus: c'est le stress. Mais quelle bipolaire de vie! Faut avoir les nerfs solides, bon sang de bonsoir.
Ce qui fait que l'appartement de vacances a changé de visage en quelques heures et s'est transformé en véritable usine de traduction. Ça chauffe dans les chaumières (hey! un Ç majuscule... merci Julaï). Enfin, ça chauffe dans celle-là en tous les cas. Sur ma gauche, Steph et son fidèle Pifou pataugent dans les méandres du royaume de Ragnarök, quant à moi, entre moi et moi donc, je découvre les merveilles du "corpolingus" à l'américaine. Je ne vous dis que ça. Nos deux ordinateurs surchauffent côte à côte (qui qu'a le plus gros?), et de drôles de monologues se chevauchent: "et bien je vous renvoie d'où vous venez, je ne tomberai pas dans le panneau, patate"... "si cette motion est acceptée, alors une autre motion sera proposée pour approuver le reste de la version de travail." On y perd notre latin dans ce fourbi.
Bon, j'y retourne. Pifou, me voilà! Ah non... "corpolingus", me voilà!

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