mardi, 18 novembre 2008

LOST IN A POSTCARD


En vitesse et sans accents pour cause de clavier peu conforme a mes habitudes.
Apres la semaine de fievre electorale americaine et cette incroyable explosion de liberation en cette inoubliable nuit du 4 novembre, voila une semaine que je gambade dans les plaines d'Amerique du Sud, et mes prunelles n'en croient pas leurs yeux. Sincerement, je n'en reviens pas. Je suis entouree de reliefs improbables aux mille et une couleurs, des deserts, des deserts de sel, des lagunes, des geysers (j'etais gant de crin, un geyser...). Je passe pour l'instant sur toutes les sensations et emotions liees aux odeurs, a la decouvertes d'autres realites sociales, economiques et culturelles. Pour mieux y revenir plus tard, lorsque le temps s'y pretera... ou lorsque j'aurai reussi a demeler le fil de toutes ces impressions.
Il n'empeche que, pas plus tard que cet apres-midi, j'etais la... oui, oui, pile la. La photo n'est pas de moi, je viens de la voler sur un site. Mais j'ai exactement la meme imprimee dans la memoire de mon appareil, et la posterai tout bientot ici meme afin de prouver par A plus B que quand je dis quelque chose, il faut me croire. Pour votre gouverne, c'est la Recta de Tin Tin, et elle deroule ses kilometres de bitume quelque part dans le Nord de l'Argentine. And I still can't believe my eyes.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Oh beau... Ah un grand voyage ça change la vie. Se cogner à d'autres réalités est presque toujours bénéfique. Et ces autres horizons remplissent le coeur et la tête d'images inoubliables.
Profite bien!